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  Por Mario Sandoval 1 En el escenario político argentino reciente, los slogans “El que las hace, las paga” y “¡Viva la libertad, carajo!” se han convertido emblemas discursivos del gobierno, de sus seguidores y de voceros ad-hoc, que proclaman -con altisonancia- la defensa de supuestos valores morales absolutos: la justicia y la libertad. Estas frases, en apariencia contundentes, se han presentado como síntesis de un nuevo orden político que promete justicia, honestidad y emancipación.  Sin embargo, lejos de representar principios filosóficos, jurídicos o humanistas, estos lemas son paradigmas tradicionales de la propaganda, diseñadas para instrumentalizar el lenguaje político y manipular emocionalmente la sociedad. Su único propósito es consolidar el poder, legitimar la exclusión y normalizar el castigo sin derecho. Ambos discursos no solamente ocultan una profunda incoherencia política- filosófica real. Operan en el plano simbólico para galvanizar a sectores...

  Quand les héritiers auto-proclamés du « siècle des Lumières » deviennent les promoteurs de sa liquidation. Dans son ouvrage « Liquidation », l’auteur et professeur de droit public Frédéric Rouvillois décrit comment l’actuel Président de la République Emmanuel Macron entretient un lien étroit avec le Saint-simonisme, ce courant progressiste qui remonte au XIXe siècle, et comment ce lien étroit éclaire les choix de ce dernier. C’est ainsi que, selon Frédéric Rouvillois, « le sens caché du macronisme » résiderait dans « sa volonté de liquider les réalités anciennes afin de leur substituer, sur tous les plans, un nouveau monde ». Si l’on s’en tient au domaine des droits de l’Homme, on ne peut qu’être surpris par cette coïncidence, entre la destruction systématique des valeurs universelles qui ont façonné la France post-révolutionnaire pour lui substituer une nouvelle réalité : celle des droits à géométrie variable, réservés à quelque...