Mario Sandoval Qu’il semble lointain le temps où le journal du soir analysait les faits comme ils étaient, et non comme il voulait qu’ils paraissent. Quand le journaliste Paulo A ntonio Paranagua abordait tous les sujets de la région, et notamment de l’Argentine. Avec recul, sans pour autant renoncer à ses idées et convictions, mais en pointant du doigt les problèmes : la corruption qui entachait le gouvernement Kirchner et les organisations chargées de défendre les droits de l’homme, les dysfonctionnements de la justice argentine, qu’il qualifiait de « justice vengeresse » après la décision de rouvrir les procès des années 70 (seulement pour les agents de l’État, non pour les membres des groupes armés), ou encore traitait du « révisionnisme argentin » imposé par le couple Kirchner après son arrivée au pouvoir. Aujourd’hui, il semble que le révisionnisme argentin ai fait des émules, jusque dans les rangs du journal parisien le Monde. Plus qu’un sim...
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